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  • Photo du rédacteurAnne-Laure Cabos

Nos fêlures laisseraient passer la lumière ...

L’expérience de vie de Jacques Lusseyran, relatée dans sont livre autobiographique Et la lumière fut, me vient comme un écho à la parole inspirée d'Audiard « Heureux les fêlés car ils laisseront passer la lumière ».

A l’âge de 8 ans, dans un accident, Jacques Lusseyran perd l’usage de la vue. Se faufilant par cette fêlure, la lumière a produit dans la vie de Jacques Lusseyran de sacrées réalisations : il est à 20 ans à la tête d’un réseau de résistance, il survit à Buchenwald, tout aveugle qu’il est, il devient agrégé de lettres et professeur de littérature aux Etats-Unis... rien que ça... et ce n'est que ce que l'on voit depuis l’extérieur.

Et à l’intérieur, dans son intimité, qu’a-t-il vécu ?

Voici de quoi nous en donner la saveur : Ecouter l’audio du passage (3min40)



La petite question du mois :

En moi, quelles sont les brèches, les fêlures qui permettent à la lumière de passer et d’éclairer ma vie et...pourquoi pas...celles des autres ?


Heureux fêlés que nous sommes !

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